samedi 1 février 2014

Samira Saïd revient s'installer définitivement au Maroc

Rabat : Après des années passées en Egypte où elle a élu domicile, la diva de la chanson arabe, Samira Saïd, a décidé de revenir s'installer au Maroc, son pays natal, auprès de sa famille.


Dans un entretien accordé au quotidien arabophone Al Ittihad Al Ichtiraki, Samira Saïd, est revenue sur la situation actuelle en Égypte où la nouvelle constitution tient une grande place médiatique même parmi les artistes.

Samira Saïd a confié qu'elle avait voté Oui à cette nouvelle constitution pour tout le bien qu'elle véhicule, notamment pour les artistes, selon ses dires; mais également la cohabitation et le respect entre les deux communautés religieuses musulmane et copte qu'elle invoque.

La diva marocaine assure que la situation actuelle en Égypte semble plus claire qu'à l'époque des Frères Musulmans, le pays est dans la voie de la liberté.

Quant aux islamistes au Maroc, la chanteuse assure qu'ils évoluent dans un cadre transparent, soulignant le rôle du Roi Mohamed VI dans la préservation de la cohabitation entre musulmans et juifs dans le royaume.

Samira Saïd a annoncé, par ailleurs, sa décision de retourner s'installer définitivement au Maroc, une décision qui n'a rien à voir avec la situation actuelle en Égypte, mais qui émane de sa volonté de revenir auprès des siens, tout en gardant son activité professionnelle au pays .

Alger, rattrapée par sa politique belliqueuse à l’égard du Maroc

La crise des réfugiés syriens avec l’Algérie montre que ce pays est rattrapé par sa politique belliqueuse constante à l’égard du Maroc. Alors que notre pays était en droit de demander des explications sur l’expulsion des réfugiés syriens (ayant transité par l’aéroport d’Alger) vers notre pays, le ministère algérien des affaires étrangères au lieu de faire amende honorable n’a rien trouvé de mieux que de convoquer notre ambassadeur en Algérie pour des protestations.


Relayé en cela par une presse aux ordres incapable de discernement et de vérification des faits ou de remise en cause de la version fallacieuse de l’agence officielle APS, les gouvernants d’Alger nous rappellent qu’ils sont toujours dans une sorte de guerre non déclarée contre nous.

En fait, si notre pays a toujours appliqué la politique de la main tendue avec l’Algérie, les dirigeants de ce pays ne manquent jamais une occasion pour nous rappeler que nous avons un pays ennemi à notre frontière Est. Or le Roi Mohammed VI a toujours demandé la normalisation des relations avec l’Algérie. En tant que chef d’état, il a demandé l’ouverture des frontières Est de son pays qui étaient fermées avant son arrivée au pouvoir. Ses appels sont demeurés vains et la main tendue à l’Algérie est restée sans suite.

En réalité, il faut se rendre à une évidence ; ce pays est en guerre non déclarée contre nous. Cela a commencé par l’expulsion des marocains d’Algérie en 1975. Des familles enracinées en Algérie et résidant légalement dans ce pays ont été spoliées de leurs biens et expulsées vers le Maroc, pays qu’elles connaissaient peu ou parfois pas du tout car ils ont vécu pendant des générations en Algérie. Des familles mixtes ont été « dépecées ». Des enfants ont été arrachés à leur mère et des femmes séparées de leurs enfants et leur conjoint. Ces exactions constituent une grave violation des droits de l’homme et passibles du tribunal pénal international. Lire le témoignage d’un déporté marocain d’Algérie.

Par ailleurs, l’évolution des relations avec ce pays ces dernières années ont été marquée par le fait que l’Algérie tout en affirmant officiellement que le conflit du Sahara concerne la Maroc et le Polisario, que c’est une affaire des Nations Unies, consacre des millions de dollars à ouvrir et faire fonctionner les « ambassades » et autres bureaux du Polisario à travers le monde et financer différents lobbies pour soutenir « la cause sahraoui », tout en achetant pour des dizaines de milliards de dollars d’équipements militaires dont une partie bénéficie aux combattants du Polisario alors que les populations sahraouies réfugiées en territoire algérien à Tindouf en Algérie continuent de vivre dans des conditions misérables en dépit de l’aide internationale notamment européenne qui leur est allouée. D’un autre côté, ce pays est lancé dans une course d’armement effrénée dans le but non avoué de mettre à genou notre économie.

Cette approche guerrière est le fait de la caste au pouvoir dans ce pays depuis son indépendance. Réclamant sans succès la repentance de l’ancienne administration coloniale, les gouvernements d’Alger n’ont rien trouvé de mieux pour se maintenir au pouvoir que de faire de leur voisin de l’Est un ennemi.

Les révélations de Wikileaks publiée par la presse algérienne sur l’Algérie sont significatives à ce sujet «La seule approche de Bouteflika et de son équipe est la dépense de milliards de dollars dans des infrastructures et des projets grandioses». En vain. La raison, en est, selon les diplomates, «la bureaucratie, les lourdes réglementations, la centralisation ralentissant les projets et empêchant les nouveaux investissements privés». Le gouvernement, incapable de résoudre ces problèmes systémiques, prouve ainsi qu’il y a «un manque de vision au sommet». «Bouteflika et son équipe ne savent pas s’ils veulent que l’Algérie intègre l’économie de marché mondiale, ou si le gouvernement doit perdurer dans le contrat social des années 1960-1970», est-il affirmé dans le document. Rien que cela.

Pour ce qui est de la politique extérieure de l’Algérie, il est estimé que «Bouteflika est son propre ministre de l’Extérieur, et sa conception politique régionale n’a pas évolué depuis les années 1970». Dans le tableau qu’il brosse de l’Algérie, cite les failles du système politique algérien. Il évoque tout d’abord «l’incapacité des municipalités à répondre aux besoins au niveau local». «Une sorte d’immobilisme touche le gouvernement algérien qui n’arrive pas à prendre les décisions difficiles.» «Les partis politiques ont peu d’espace et semblent prêts à faire des concessions à court terme, quitte à perdre à long terme.» «L’intérêt du peuple pour la chose politique a fortement diminué, comme le démontrent les élections de 2007.» «Le climat des affaires est très difficile et ne s’améliore pas, alors que l’investissement et l’emploi diminuent

Par ailleurs, la manne pétrolière risque de se tarir à moyen terme. Pour l’expert pétrolier Nicolas Sarkis (1) cité par la presse algérienne: «L'Algérie va devenir un importateur de pétrole.» L'Algérie est le premier pays producteur qui risque de devenir un pays importateur de pétrole. «L'Algérie est le pays qui détient le plus faible taux de production et de réserves à l'Opep... De plus, nous remarquons que du fait de l'augmentation des besoins énergétiques internes, l'Algérie ne pourra pas exporter dans un proche avenir des quantités importantes de pétrole», indique M.Sarkis.

L'Algérie n'a pas joué la prudence dans l'exploitation de ses richesses: «Non seulement la dépendance aux hydrocarbures a augmenté de 70%, dans les années 1970 à 98% aujourd'hui, la production actuelle, estimée à 1,4 million de barils/jour, demeure élevée. C'est une erreur que de penser à gagner beaucoup d'argent en un temps réduit en épuisant les réserves, notamment dans la conjoncture actuelle. Avec le maintien de sa dépendance aux hydrocarbures, l'Algérie peut se réveiller un jour sur une situation très douloureuse», note M.Sarkis.

Les économistes algériens ne cessent ne cessent de tirer la sonnette d’alarme en demandant aux gouvernants de diversifier l’économie de leur pays. En vain, 98% des exportations algériennes sont constituées par des hydrocarbures et le pays continue à importer 75% de ses besoins, il est légitime de s’interroger sur la viabilité future de cet état et les conséquences pour nous et pour toute la région. C’est pourquoi ne faut-il pas s’atteler à l’Europe et assurer notre protection en rendant étanche notre frontière avec ce pays et éventuellement intégrer l’Otan à l’instar de la Turquie ?

L'histoire de ces Algériens devenus "espions" pour le Mossad israélien

Le quotidien espagnol El Pais vient de mettre la lumière sur un Algérien, le nommé Saïd Sahnoune, et notamment sur ses premiers pas comme espion travaillant avec le Mossad.


Les révélations d'El Païs sur Saïd Sahnoune ne sont qu’une petite révélation d’une vraie machine d’espionnage où beaucoup d’Algériens sont enrôlés au sein des services secrets israéliens; selon le quotidien algérien Jeune Indépendant.

L'article affirme que le recrutement des jeunes Algériens se fait par le bureau «Hamisard», très connu dans le monde pour être le canal des recrutements des jeunes talents arabes pour devenir des espions au service d’Israël.

En fait, Israël ciblerait les jeunes talents dans le domaine de l’informatique, des Algériens qui sont devenus de grands hackers ayant piraté les sites de grandes sociétés françaises, belges et égyptiennes, que certains ont carrément «dérobé» ceux de certains ministères français et israéliens.

Ces jeunes algériens ont fini par être recrutés par les services de sécurité israéliens, le Mossad. Saïd Sahnoune qui se réfugie actuellement en Israël, M. Isaâd et d’autres, ce sont là quelques noms d’Algériens qui ont endossé les rangs du Mossad pour devenir des espions au service d’Israël; souligne la même source.

Saïd Sahnoune est un journaliste algérien. Il a été repéré par le Mossad avant de devenir son espion. Il a été contacté, pour la première fois, par le Mossad en 1998, après qu’il a publié un article sur le Premier ministre israëlien Yitzhak Rabin en 1995 dans un quotidien béninois qu’il avait créé au Bénin. Ce premier contact a été le véritable départ d’une longue relation entre le journaliste algérien et le Mossad, témoigne le jeune Algérien au quotidien espagnol El Pais. Les relations entre lui et le Mossad se sont développées à tel point que l’Algérien a été convié à se rendre à Tel-Aviv pour discuter sur un éventuel «travail» comme collabo avec le Mossad. Chose qui avait beaucoup intéressé Saïd Sahnoune.

Après, Sahnoune a passé tous les tests avec succès et a finalement été recruté par le Mossad. Mais ce n’est qu’après un essai de deux semaines à Tel-Aviv qu’un chef du Mossad, Sami, s’était identifié en acceptant de dîner avec lui.

Le journaliste algérien affirme avoir posé certaines conditions à ses nouveaux employeurs, à savoir ne pas travailler contre son pays et ne pas tuer quelqu’un, lesquelles conditions ont été acceptées. La collaboration de Saïd Sahnoune avec le Mossad débute lorsqu’il a effectué un voyage à Bangkok, où les fonctionnaires de l’ambassade d’Israël lui avaient proposé de se rendre, une nouvelle fois, à Tel-Aviv pour engager le processus de recrutement et de formation.

Sahnoune espionnait pour le Mossad à Abidjan en Côte d’Ivoire. Il était chargé de la surveillance de la colonie libanaise chiite en Afrique de l’Ouest. Il espionnait également en Tunisie, mais surtout au Liban après le retrait d’Israël du sud du pays qu’il occupait jusqu’en 2000.

Le journaliste raconte que le Mossad s’intéressait à un Libanais qui avait travaillé pour l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), ainsi qu’à un ancien ambassadeur du Liban, un militaire et un couple de chiites dans le Sud. Il avait établi des contacts avec eux pour savoir si ces personnes se rendaient en Europe ou si elles pouvaient être invitées à un événement en Europe.

Le hacker de Maghnia

Sahnoune n'est pas le seul a être recruté par le Mossad, un jeune Algérien résidant dans la commune de Maghnia (Tlemcen) a été localisé depuis l’adresse IP de son micro-ordinateur. Il a pu pirater plusieurs sites de grandes sociétés françaises, égyptiennes et belges, menaçant de les détruire si ces dernières ne payaient pas les sommes qu’il demandait.

L'Algérien a été contacté via sa boîte Facebook par une jeune et charmante femme, laquelle lui a proposé un mariage en Tunisie, le point de rendez-vous. Quelques mois après, le jeune Algérien s’est donc envolé vers Tunis avant de rallier la ville de Djerba. Là, il s’est marié avec cette jeune femme, d’origine juive. Le couple a passé trois mois dans un hôtel luxueux en Tunisie, payé par le Mossad sans que l’Algérien s’en rende compte. Pis, la femme qu’il venait d’épouser était un agent du Mossad.

Ce jeune Algérien aurait été utilisé par le Mossad (services secrets israéliens) dans le piratage des sites de grandes sociétés françaises et belges qui concurrençaient les sociétés israéliennes.

Le bureau «Hamisard» a ainsi enrôlé cet Algérien, en mettant à sa disposition les moyens matériels et financiers nécessaires afin de l’utiliser dans des affaires d’espionnage.

Le site algérien rappelle que le bureau Hamisard a ouvert depuis quelques années un site Internet conçu spécialement pour les hackers de nationalités de pays arabes. Ce site Internet permet à ces jeunes, dont la capacité intellectuelle dans le monde de l’informatique est avérée, de s’engager dans des entreprises étrangères. Des milliers de dossiers de candidats arabes sont déposés, mais rares sont ceux qui sont recrutés via ce site Internet. C’est la «Melukah», division chargée du profilage, qui fait le premier pas vers une recrue potentielle, voire une proie éventuelle.

Facebook dévoile Paper, son journal en ligne

Etats Unis: Le réseau social Facebook se lance dans le "journalisme"; voilà qu'il lance une nouvelle application appelée "Paper", un journal en ligne dans lequel on peut voir et partager des articles et d'autres contenus depuis un smartphone.


Cette nouvelle application "Paper permet de raconter des histoires de manière plus jolie avec un design amélioré et plein écran, une mise en page sans éléments perturbateurs", indique Facebook, rapporté par Le Monde.

Paper est la première créée par Facebook Creative Labs, elle sera disponible à partir du 3 février pour les utilisateurs d'iPhone; l'objectif étant de rendre "plus facile la conception et le partage", selon le réseau social.

Cette application offre plusieurs sections thématiques qui permettent de suivre les principaux sujets d'actualité, ainsi que des rubriques aussi variées que les sports, la science ou la cuisine. Les utilisateurs pourront personnaliser de nombreux paramètres. "Chaque rubrique offrira de nombreux articles, de publications bien connues mais aussi de nouvelles voix", note encore Facebook.

Parmi les médias partenaires, découverts à partir d'une vidéo de présentation, l'on note New York Times, Time magazine, USA Today et le Huffington Post.

Paper permettra de visionner en plein écran des vidéos et "rendra plus facile de repérer des articles de publications de confiance et de décider quoi lire ou quoi regarder"; souligne toujours facebook.

Diana Haddad, musulmane malgré son prénom

La chanteuse libanaise Diana Haddad a mis fin à une polémique vivace dans les milieux de ses fans, autour de sa religion.


Son prénom occidental, Diana, laissait croire qu’elle est de foi chrétienne, surtout que les chrétiens catholiques et orthodoxes, sont largement en présence dans le panorama ethno-confessionnel libanais.

Mais à Doha, où la star libanaise donnait concert au festival Souk Waqef du Qatar, Diana Haddad a assuré lors d’un point de presse, qu’elle est musulmane depuis toujours, et que son père est de confession musulmane et elle doit son prénom Diana, à sa mère qui est, elle chrétienne.

Diana Haddad a assurée selon, news.nawaret.com, qu’elle n’a point besoin de déclarer à chaque fois, qu’elle pieusement assidue à pratiquer ses cinq prières quotidienne et à jeûner le Ramadan : ‘Ma foi est entre moi et mon Dieu’ a-t-elle dit.

Caractéristiques techniques de la frégate FREMM Mohammed VI

La frégate FREMM Mohammed VI 701, que la Marine royale vient de réceptionner officiellement à Brest en présence du prince Moulay Rachid, est un navire de guerre doté de capacités multi-missions, dont les caractéristiques techniques, de capacités et d'armements, sont comme suivant :


Constructeur :

Le groupe de construction navale français DCNS

Lieu de construction :

Lorient en France

Mise sur cale en 2008, Lancée en 2012 et Mise en service en 2014

Caractéristiques techniques

Déplacement : 6000 tonnes ( 4800 lège )

Dimensions : 142.00 × 19.50 × 4.20 ( tirant d'eau )

Motorisation :

" 1 LM2500+G4

" 2 lignes d’arbres

Vitesse : 28 noeuds

Puissance : 19 MW

Autonomie: 6000 nm et 45jours.

Armement

" 1 Cannon Oto Melara 76mm Super Rapido

" 8 Missiles anti-navires Exocet MM40 BkIII

" 16 Missiles Anti-aériens Aster-15

" 2 TLT pour 12 torpilles MU90

" 2 Giat 20mm F2

" Hangar et Plate-forme pouvant accueillir un hélicoptère lourd


Equipements électroniques

Détection surveillance :

" Radar multifonctons 3D Herakles

" radar de navigation et de surveillance Terma SCANTER 2001

" Sonar de coque UMS 4110

" Sonar remorqué Captas 4

" Conduite de tir SAGEM NA-25 XP

Contre mesures :

" C-ESM Altesse X

" Artemis IRST

" Lances leurres NGDS

" Lances leurres anti-torpilles Contralto-V

Système de commandement et de communication :

" Système de Gestion de Combat SETIS

" Systèmes de Gestion de Communication PARTNER/FICS

" Système de communication par Satellite Sailor 500 FleetBoardband

" Shipmaster

" Link 11 / 16 / 22

" IFF system TSB 3520

" TUUM6 Underwater Telephone

" TRG/TRN V/UHF Transceivers

" NGIN Voice Over IP system

Equipage:

108 marins. Capacité d'héberger jusqu'à 180 personnes.

The Voice: Le marocain Mahmoud Tourabi "oblige" Chirine à vouloir "casser" les règles

 Le dernier épisode de la première étape de The Voice n'a pas été bien riche en talents, si ce n'était le quinquagénaire irakien, Amer Taoufik et le jeune marocain Mahmoud Tourabi dont la voix assez spéciale a poussé la chanteuse Chirine, membre du Jury, à demander une exception pour pouvoir l'avoir dans son groupe.

Mahmoud Tourabi s'était déjà fait connaître par le public marocain dans la récitation de Coran.. il a, à présent, choisi d'aborder le monde de la chanson et a montré beaucoup de qualités pour sa première apparition sur la scène de The Voice.

La voix de Mahmoud Tourabi a ensorcelé le public et les membres du Jury de l'émission télé-crochet The Voice, à tel point que les quatre ont appuyé sur le buzzer alors que deux seulement avaient la possibilité d'avoir un autre concurrent dans leur groupe, à savoir Assi Hellani et Saber Robaï.

Kadhem Saher a expliqué qu'il avait appuyé sur le buzzer par grand respect pour cette voix, même s'il n'en avait pas le droit; alors que Chirine s'était mise à côté du jeune chanteur marocain, exprimant toute sa déception de ne plus avoir la possibilité de l'avoir dans son groupe, elle a même "menacé" de quitter l'émission.

La chose fut impossible puisque Chirine avait déjà le nombre demandé de talents; et c'est donc Saber Robaï qui a réussi à avoir la perle rare.

Il faut dire que les quatre membres du jury n'ont pas tari d'éloge à l'encontre de la voix de Mahmoud Tourabi qui semble différente de toutes les voix élues dans l'émission, comme a tenu à préciser Assi Hellani.